Alors que le web web 1.0 comprenait des pages web statiques qui étaient rarement mises à jour, voire jamais.
Le web 2.0 s'oriente de plus en plus vers l'interaction entre les utilisateurs pour produire de la richesse de contenu.
Environnement technologique caractéristique du web 2.0 :
- CSS, XHTML : standardisation des normes de mise en page pour une ultra-compatibilité (tous navigateurs web, PDA etc.)
- AJAX (asynchrone JavaScript and XML) utilisation conjointe de technologies libres permettant un échange dynamique très rapide online mais aussi offline,
- RSS (really simple syndication): protocole standardisé permettant très simplement de faire usage des données d'un site dans un autre site,
- Etiquetage : utilisation de tags ou de mots clefs pour améliorer la recherche sémantique, combiné au nuage de mots clefs qui permet de donner un « poids » à une étiquette,
- SOAP : protocole d’échange de données basé sur le XML et sur une suite d’actions simples,
L'expression « web 2.0 » est plus un terme générique pour regrouper un ensemble d'usages déjà existants qu’une nouvelle technique proprement dite.
De nombreux sites font du web 2.0 comme Monsieur Jourdain faisait de la prose.
En résumé, le web 2.0 est un terme marketing pour décrire un site Internet enrichi par sa communauté d’utilisateurs et dont l’information est partagée par tous,
On parle aussi d’intelligence collective ou de web collaboratif.
Les sites se revendiquant web 2.0 aiment bien commencer par wiki (par comparaison au site en ooo anciennement)
Les stars du web 2.0 :
YouTube, Flickr, Wikipedia, Blogspot, MySpace ou encore Facebook
Les limites du web 2.0 :
- La fiabilité de l’information, qui n’est vérifiée ni garantie par personne.
- Une certaine centralisation de l’information à terme, qui restreint le web, plus à l’image d’une étoile que de la toile d’araignée qu’il est censé être.
- Un effet de mode ?
Que sera le Web 2.5 : peut-être un logiciel de travail utilisable exclusivement en ligne en mode ASP (ou FAH) comme une GRC ou un SFA par exemple ?